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1. Bonjour, j’ai perdu mon époux en août 2019 suite à une longue maladie comme ont dit qui a durée cinq moi. Mes filles ont 23 et 17 a ce moment là. Je m’effondrait dans la dépression malgré la béquille médicamenteuse comme vous dites. Un soir j’ai entendue ma dernière appeler sa sœur car elle s’inquiétait pour sa maman… j’ai réagi et j’ai eu l’aide d’une sophrologue de la ligue du cancer. J’ai pleuré et lors de la séance j’ai senti et entendu mon cœur battre. J’étais toujours en vie. Cette sensation m’a permis de comprendre que je devais avancer malgré tout. Ce n’est pas un miracle mais j’avance. Je me sens seule mais grâce au réseau j’ai retrouvé un ami d’adolescence. A l’époque il était mon confident et il l’ai à nouveau. Je me confis comme à un cahier intime mais on a du soutien même à distance. C’est important je pense de trouver une personne avec qui on peut discuter sans limite. En tout cas ça me fait du bien moralement. Certes cela ne m’empêche pas de connaître des grosses baisses de moral, des larmes, de la colère mais dans ces moments là j’en parle, je pleure…
   Le deuil est un long chemin, une falaise à surmonter. Mais nous sommes en vie et nous devons essayer d’avancer dans ce nouveau chemin de vie.
   Bon courage à vous
   Nathalie

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   1. Bonjour je vous remercie pr votre précieuse réponse et expérience.
      J ai qqs personnes pr me confier ms surtout à distance aussi et j essaie d exterioiser mon chagrin tte seule.
      Ma prof de yoga avt le covid , thérapeute energeticienne m a conseillée d ecrire aussi.
      Ce que je n arrive vraiment pas a surmonter en plus de mon chagrin,c est la solitude a la maison .
      Les idées noires st quotidiennes…
      J ai adopté 4 chats trésors ms cela ne fait pas tout…je dois prochainement reprendre une activité à mi temps…on verra…
      Je vs souhaite encore du réconfort à venir…
      Amicalement
      Karine

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